Peux-tu te présenter rapidement ?
Je suis photographe avec un statut d’auteur. Je transmets mes savoir-faire professionnels au sein de l’école publique de journalisme de Tours. Soucieux des choix de société qu’il faut prendre, je suis particulièrement attaché à la notion de sobriété.
Pour toi, c’est quoi le Tiers-Lieu du Sud Touraine ?
C’est un projet qui permet de mettre en action des idées qui étaient plus du domaine du rêve et qui deviennent réalité ! C’est un lieu de rencontres et d’échanges tant intellectuels que concrets, toujours dans la convivialité.
Qu’est-ce qui t’a attiré dans ce projet ?
Ce projet permet d’être acteur du changement pour imaginer une autre société, celle du partage, de la rencontre, de la construction d’un projet collectif.
Quelles sont tes actions au sein du tiers-lieu ?
Nous avions constitué un petit groupe pour travailler sur la notion de sobriété. Est née l’idée d’intégrer le tiers-lieu pour créer un atelier qui permettrait de réparer les objets en panne pour leur redonner une deuxième vie. Cet atelier serait un lieu d’échange où chacun, chacune, pourrait apprendre à réparer du petit électroménager, son vélo, à travailler le bois, etc.
J’aime aussi prendre part aux différents travaux pour l’aménagement du lieu, toujours dans un souci de sobriété.
